19 liens privés
On peut comprendre que le grand public s’en inquiète, puisqu’il vit une énorme dissonance cognitive collective : il utilise quotidiennement des plateformes numériques dont il sait pertinemment qu’à plein de niveaux, elles sont problématiques4. D’autant plus qu’il méconnaît les alternatives et que selon son niveau de culture numérique (très lié à d’autres composantes sociales comme le niveau de diplôme, rappelons-le), il est plus ou moins à l’aise pour « négocier » avec ses artefacts numériques, ou s’acheter des espaces sans publicité et avec moins de captation de donnée.
THIS. Ça rejoint tellement une partie de ma réflexion sur la technologie, l’informatique et le web en général.
Et oui, il faut que je lise Printeurs de Ploum, c’est prévu.
In a saner society, a rich guy with Musk's well-known and unapologetically expounded views would sooner find himself under a guillotine than atop a space agency with the power to dragoon the world's resources into his k-hole John Galt cosplay. The certainty that he will never make another planet habitable is no comfort to the rest of us, when in the act of trying he may do the opposite to this one. The doomsday scenario is coming from inside the house. I hope he dies on Mars.
C'est assez incroyable l'histoire de cette citadelle chinoise en marge de Honk-Kong, qui n'existe plus aujourd'hui. J'ai découvert le sujet grâce au dernier numéro de la newsletter Absolument Tout (abonnez-vous !).
Le film entier se passe dans un endroit dont vous avez sans doute déjà entendu parler : la citadelle de Kowloon, sorte de bidonville immense, ultra-compact et vertical, bâti progressivement à partir de la fin du XIXe siècle dans une minuscule enclave chinoise située à la périphérie de Hong-Kong.
La photo dans la newsletter est impressionnante, alors qu'il ne s'agit que d'une vielle photo aérienne. On se rend déjà compte de la taille et de la densité du lieu. Mais le plan en coupe réalisée par une équipe japonaise avant la destruction, c'est encore un autre niveau. Visiblement introuvable pendant longtemps (sauf dans une version en basse résolution), quelqu'un en a partagé un scan en haute définition visible ici. Attention, le chargement du fichier peu faire chauffer un peu votre matos.
Le niveau de détail est impressionnant et renvoie n'importe quel Où est Charlie ? dans les cordes. Je pourrai passer des heures à parcourir ce plan au niveau de zoom maximum. Et quand on réalise que c'est un endroit où des gens vivaient vraiment… Pfiou !
C’est un fait scientifique établi : nous devons réduire le trafic aérien pour respecter nos objectifs climatiques. Vient alors la question magique : comment ?
Si nous réduisons le trafic aérien par la loi, devons-nous faire des exceptions, comme la famille, les conjoints, la santé, etc. ? Comment garder des liens intimes avec des personnes que nous aimons s’ils vivent à l’étranger et où l’avion est la “seule” solution possible ?
Beyond that, we should be thinking about proactive moves too—the time has never been better to advocate for a 4-day workweek, for instance. We’re just taking the AI companies, who say they’re in the process of ushering in a sublime productivity revolution, at their word! What better way to ensure all workers, not just CEOs, share the benefits of this presumably enhanced efficiency? While we’re at it, the same case might be made to agitate for universal healthcare again, too. The case should be obvious: In a world of hyperabundance, everyone gets access to free healthcare. It should be the very first thing. Anything else is immoral. Otherwise you get Elysium.
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If someone had designed a work regime perfectly suited to maintaining the power of finance capital, it's hard to see how they could have done a better job. Real, productive workers are relentlessly squeezed and exploited. The remainder are divided between a terrorised stratum of the, universally reviled, unemployed and a larger stratum who are basically paid to do nothing, in positions designed to make them identify with the perspectives and sensibilities of the ruling class (managers, administrators, etc.)—and particularly its financial avatars—but, at the same time, foster a simmering resentment against anyone whose work has clear and undeniable social value. Clearly, the system was never consciously designed. It emerged from almost a century of trial and error. But it is the only explanation for why, despite our technological capacities, we are not all working 3–4 hour days.
The high steel intensity of low carbon power sources confronts us with a so-called “catch-22”, a situation in which there seems to be no escape from a problem no matter what we do. We need much more steel if we replace thermal power plants with renewable ones. Because there is not enough steel scrap available, we can only produce that extra steel from iron ore in blast furnaces burning fossil fuels. To address climate change, we need to build low-carbon sources quickly and in great numbers. However, to achieve circular material flows and build low-carbon power sources from scrap and renewable electricity, we would have to do the opposite: slow down the development of a low-carbon power grid.
Les article de Low tech magazine sont toujours longs mais absolument passionnants, sourcés et instructifs.
Dans son livre Vallée du silicium, Alain Damasio répond à cette idée “quadruplement stupide” avec quatre arguments de taille. Nous reproduisons ici avec son accord la réponse apportée à cette fameuse technologie neutre