19 liens privés
« Nous les scientifiques avons vu surgir et faire florès le concept d’“écrans” et de “temps d’écran”, dénués de sens sur le plan cognitif tant les activités qu’ils regroupent sont variées, pour expliquer tous les maux de la société »
On peut comprendre que le grand public s’en inquiète, puisqu’il vit une énorme dissonance cognitive collective : il utilise quotidiennement des plateformes numériques dont il sait pertinemment qu’à plein de niveaux, elles sont problématiques4. D’autant plus qu’il méconnaît les alternatives et que selon son niveau de culture numérique (très lié à d’autres composantes sociales comme le niveau de diplôme, rappelons-le), il est plus ou moins à l’aise pour « négocier » avec ses artefacts numériques, ou s’acheter des espaces sans publicité et avec moins de captation de donnée.
THIS. Ça rejoint tellement une partie de ma réflexion sur la technologie, l’informatique et le web en général.
Et oui, il faut que je lise Printeurs de Ploum, c’est prévu.