19 liens privés
Women and girls in the Central African Republic are continuing to have their lives ruined by sexual abuse and exploitation committed by UN peacekeepers, and many are not reporting cases to the mission on the ground because they fear reprisals, don’t know who to contact, or lack faith that action will be taken.
Les soldats ont accusé les villageois d’avoir participé à l’insurrection. Ils ont séparé les hommes — un groupe de 180 à 250 personnes — de leurs femmes et de leurs enfants. Puis ils les ont entassés dans les deux conteneurs situés de part et d’autre de l’entrée, les frappant à coups de pied et de crosse.
Les soldats ont détenus ces hommes pendant trois mois. Ils les ont battus, affamés, torturés puis finalement exécutés. Finalement, seuls 26 prisonniers ont survécu.
⚠️Attention, l’article est difficile à lire.
J’espère que cette enquête ira jusqu’au bout et qu’on connaîtra la vérité. Notamment sur le degré d’implication de Total.
The truth is that our nation, great though it is in so many ways, has a horrific history of political violence and a seemingly innate obsession with firearms. Four presidents have been assassinated in office — Lincoln in 1865, Garfield in 1881, McKinley in 1901, and Kennedy in 1963 — all by gunshots. Three more — Roosevelt, Reagan (who nearly died), and now Trump — have been wounded by gunshots.
So here is what the Democrats should do. Tomorrow morning Chuck Schumer should put on the floor of the Senate a law mandating strict background checks for all gun purchases. Perhaps tie it to a reinstitution of the 1994 assault weapons ban that Republicans allowed to expire in 2004. Give it a name like the “Anti Political and School Violence Act”. Make Republicans shoot it down. Make them say, as Trump himself did after a school shooting massacre in Iowa this year, that we “have to get over it, we have to move forward.” It’s not just an outrage when your right-wing authoritarian hero gets his ear nicked by an assassin’s bullet. It’s an outrage when anyone is shot by a nut with a gun.
Make them say it. See how that flies.
Dans C à Vous, Véronique se souvient des « colères folles » de son ex-mari. « Ce n’étaient pas seulement des gifles, on va au-delà des fessées, des gifles, du tirage de cheveux. On va dans des gestes qui vont jusqu’à étrangler un enfant, le soulever du sol, le coller au mur », décrit-elle. Elle continue au bord des larmes, en mimant les gestes. « (Son fils) faisait ses devoirs et son père le secouait par la tête. “Mais tu vas faire tes devoirs, mais tu vas écrire correctement ?” », hurlait Yves Milla, affirme Véronique. Elle affirme avoir également vu son ancien compagnon prendre son arme de service pour menacer leur enfant afin qu’il fasse ses devoirs.