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I've got cancer but it's probably (almost certainly, really) okay. Within a very short period I will no longer have cancer (at least for now). This is the best kind of cancer to have – the kind that is caught early and treated easily – but I've learned a few things on the way that I want to share with you.
And so, while we software engineers enjoy free hosting & custom domain support with GitHub Pages / Cloudflare Pages / etc, normal users are stuck with a bunch of greedy clowns that make them pay for every little thing, all while wasting ungodly amounts of computational power to render what could have been a static website in 99% of cases.
Je suis d'accord avec l'auteur. Mes premièrs blogs (vous vous souvenez du Blog Bazar ? Normalement, non) fonctionnaient sous Wordpress. Depuis, je suis passé a Publii : une solution gratuite et open-source pour gérer et générer un site statique. Dans le fond, j'aime bien, c'est simple sans être dépourvu d'options, ça produit un site léger et rapide (cf. L'Antre d'un poulpe). Mais le tout dépend d'un logiciel à installer et, si je veux pouvoir éditer ou publier où que je sois, il faut synchroniser les fichier sources.
Ça fait un moment que je veux aller plus loin :
- Quitter Publii
- Basculer sur un générateur comme Hugo, Jekyll ou Pelican
- Monter un flux de déploiement via un git avec gestion des sources en
.md
via Obsidian.
Et, qui sait, tenter une version gemini tant qu'on y est ?
Encore un chouette billet de blog de Ploum. Plusieurs extraits m'ont fait réagir.
Je n’avais jamais vu les choses sous cet angle. Pour moi, le point commun est surtout une volonté de changer les choses. Or, par définition, si on veut changer les choses, c’est qu’on n’est pas satisfait avec la situation actuelle. On est donc « perdant ». En fait, tout révolutionnaire est, par définition, un·e perdant·e. Dès qu’iel gagne, ce n’est plus un·e révolutionnaire, mais une personne au pouvoir !
Rares sont les exemples de personnes/entités qui veulent changer les choses et ne sont pas corrompues d'une façon ou d'une autre lorsqu'elles arrivent à leur fin. Ça existe certainement (je n'ai pas d'exemple en tête), mais instinctivement on sait que ce n'est pas la norme.
Être progressiste implique donc d’être perçu comme perdant selon le filtre d’Andy. Le progrès nait de l’insatisfaction. Le monde ne sera jamais parfait, il faudra toujours l’améliorer, toujours lutter. Mais tout le monde n’a pas l’énergie de lutter tout le temps. C’est humain, c’est souhaitable. Lorsque l’énergie me manque, lorsque je ne suis pas un révolutionnaire, je me concentre sur un objectif minimal : ne pas être un obstacle à celleux qui mènent la lutte.
Ça rejoint l'édito de Next partagé peu avant : écouter, la fermer pour laisser parler ceux qui savent, ne pas être un obstacle et aide à porter ces paroles/causes.
Je suis conscient que tout le monde n’a pas le loisir d’être rebelle.
Cf. Louis Derrac ici.
Non, vous n’avez pas une « mission ». Vous cherchez juste à aider à construire un système pour vendre de la merde afin de pouvoir acheter votre propre merde.
[…]
On fait tous des compromis moraux. Le tout est d’en être conscient. Chacun les siens.
J'ai du mal avec la notion de pureté militante. Le noir et blanc c'est simple, mais ça n'existe pas, on fait tous des compromis gris.
Le collectif Sleeping Giants démontre ce que c’est d’être abonné aux flux de la fachosphère.
Infiltré dans la fachosphère de Twitter/X (blogs.mediapart.fr)
Article de blog passionnant et déprimant. Contrairement à Ploum, je ne trouve pas l'article inintéressant au motif qu'il ne m'apprend rien. Déjà parce que, pour moi, savoir quelque chose et observer quelque chose sont deux aspects complémentaires et nécessaires. Ensuite parce que ce type de contenu n'est jamais inutile.